Arti liberali e diritto dell’individuo in F. T.Marinetti

tours, un créateur des cités, un constructeur de maisons, l’auteur d’un livre et d’un beau livre: Mafarka, le futuriste!... Vous allez dans la vie porté sur une trépidante machine de guerre mais en rassemblant les hommes pour le combat du futurisme contre le passé vous leur enseignez aussi la liberté de tous les arts et l’amour de l’indépendance. En croyant verser du sang pour votre cause vous allez simplement répandre l’aurore d’un verbe nouveau. Etre excessif quelle noble vertu! La grandeur d’un pays est surtout faite de la folle passionnée de ses enfants et non de leur sage indifférence. Réver d’une Italie plus active et plus vivante, c’est vouloir toujours jeune la merveilleuse nation qui fut la maîtresse intellectuelle du monde entier.

In un libricino giallo ocra del suo vecchio amico Gustave Kahn, nella linea funambolesca di Théodore de Banville,[23] dedicato a Marinetti, troviamo un’ultima scena, super tristitiam del futurismo di Marinetti:

l’esperimento, la scienza della relatività, il principio quantistico di indeterminazione.

Guignol est mori! Qui l’a tué? L’art réaliste ou le café-concert? La splendeur nouvelle des joies foraines, la vie plus trépidante, les sports mis à la portée de l’enfance, la culture nouvelle de l’enfance et le soffi qu’on prend de remplacer le merveilleux par la legon des choses? Y a-t-il là un des points de démarcation entre le temps passé et le temps présent; faut-il admettre qu’au vieux temps, encore tout récent, on tenait à emmagasiner, chez les petits, un beau trésor d’images féeriques... on écarte maintenant d’eux le vieux répertoire de fables et le Guignol est effacé du méme coup d’éponge qui passe... sur la légende de Josué arrétant le soleil... Déjà les sages qui furent amateurs de marionnettes... la bonne Hrosvitha, cene religieuse allemande... le fit brimballer, se contentait d’un trémoussement à la gioire de Dieu, mais Charles Nodier un des dévóts de Polichinelle, avait pour son héros bien d’autres ambitions; au dire de Nodier, Bayle qui fait la biographie de tout le monde, n’aurait pas fait la biographie de Polichinelle, par timidité, interloqué devant la grandeur de son héros... Retenons simplement que ce Polichinelle connait Richard III et Hamlet, que c’est là un Polichinelle romantique, et qu’il fut persecuté avant d’étre persécuteur, ce qui fait de lui comme une manière de Coriolan ou de Timon d’Athènes, si l’on préfère et surtout un Polichinelle Iogique!... Polichinelle c’est l’ancien régime. Est c’est pour cela qu’il disparait?... Et maintenant... la farce héroique de Polichinelle, telle selon le texte des Guignols qui floríssaient à l’ombre des grands arbres, parmi les rires des enfants... .

Dal verso libero ed erudito di Gustave Kahn, nel 1906 “Guignol est more Qui l’a tué?”, appare la scena del futurismo sopra la Guerra, volontà Guignol in maschera di Polichinelle; riappare quell’almanacco evocato all’inizio di questa comunicazione, che è anche quel corpo esposto a Palazzo Grassi in sette pesanti libri rossi aperti, collage quotidiano e paziente di Marinetti, cronaca del futurismo dal 1909 al 1944. Quel corpo in volumi cartacei richiederà probabilmente uno studio che sia storico nel presupposto ermeneutico della chronique du Jour d’un costante proverbio.

“Nunc stans” scrive Schopenhauer,[24]Polichinelle corpo che suggerisce le nostre intenzioni attraverso le sue affezioni, lui stesso nient’altro che un concreto volere, oggettività della volontà, oggetto tra gli oggetti; ora, in qualità d’oggetto non può, finché tale, arrivare alla coscienza, a meno di sottomettersi alle forme del principio di ragione: ossia implica e introduce il tempo e tutte le altre forme che questo principio riassume. Il tempo, punto di vista parziale e incompleto tramite cui l’essere individuale contempla le Idee… ciò che fa dire a Platone che il tempo è l’immagine morente dell’eternità aiwNoc eikwn kinhth o xpoNoc L’opinione di F. T. Marinetti prese parte a questa democrazia.